On voit bien la difficulté. C'est d'ailleurs tout le problème de la logique de l'accord franco-allemand : pour ne pas alerter les marchés, on a voulu imiter le bon élève, mais on s'est privé ainsi des marges de manoeuvre qui auraient permis de se poser les bonnes questions – comme celle du rôle des agences de notation dans la notation des dettes souveraines. Chaque pays coupable vis-à-vis des marchés doit se débattre seul, sans pouvoir organiser une coalition des pays coupables qui permettrait de poser ces questions.