Les départs de deux humoristes et de Nicolas Demorand en juin dernier ont secoué France Inter et, au-delà, Radio France, faisant douter de la liberté d'expression dans l'entreprise que vous dirigez. Comment cette chasse aux sorcières a-t-elle été vécue par le personnel de France Inter ? Sa mobilisation exceptionnelle lors des derniers mouvements de grève ne traduirait-elle pas un profond malaise ?