Je n'aime pas que l'on réduise l'activité des marchés à un vol organisé. En 1998, quand la value at risk a été créée, deux personnes y travaillaient contre trente aujourd'hui, dans une salle qui en comprend quatre-vingt. Les contrôleurs sont devenus nombreux, on valide les modèles, l'analyse des risques est beaucoup plus performante. Certes il reste toujours un aléa moral.