La valeur de travail a été remise en cause avec la mondialisation des échanges et la concurrence des pays émergents. Le commerce équitable est un outil pragmatique, du quotidien, qui contribue à aller dans le bon sens, mais il n'est pas révolutionnaire.
Ce n'est plus aux pays du Nord de trouver des solutions toutes faites pour les pays du Sud ; mais c'est une question d' « enpowerment » : les pauvres ou les petits producteurs savent quelles solutions leur conviennent : les bailleurs de fonds doivent les aider à les mettre en oeuvre.