Monsieur Ayrault, avec tout le respect que je vous dois et toute l'amitié que je vous porte, je pense que vous vous êtes seulement trompé d'époque. (Rires sur de nombreux bancs du groupe UMP.) Vous parlez d'un Président de la République qui écoutait tout Paris. (Applaudissements sur les bancs des groupes UMP et NC.) Cela avait d'ailleurs provoqué un tel scandale que la majorité de l'époque avait cru nécessaire de faire voter une loi, la loi de 1991, à l'application de laquelle je veille, avec le ministre de l'intérieur, scrupuleusement.