Je pense aussi à l'admiration sans bornes que portait le commandant Massoud au général de Gaulle.
En fin de compte, monsieur Hollande, sur la situation afghane, votre critique est très fragile. Vous avez alors, bien entendu, recouru à l'outrance, en nous parlant de « l'obsession atlantiste du Président de la République ». Le mot est lâché ! C'est une grande première dans l'histoire politique de notre pays : l'opposition ne censure pas une politique, mais un préjugé, un fantasme !
Je veux là aussi vous répondre : la politique de la France à l'égard des États-Unis s'inscrit dans une longue continuité d'amitié et de franchise : l'amitié nous impose de réaffirmer l'alliance entre nos deux pays, la franchise de ne rien renier, notamment de nos positions sur l'Irak.