On ne peut pas revenir sur l'utilisation de l'informatique, qui est un fait. Par ailleurs, l'accident du 6 mai ne relève pas à mes yeux du risque systémique. En revanche, j'insiste sur le risque grave de désaffection de l'épargnant de base, de plus en plus convaincu que les bourses et les marchés financiers sont désormais l'affaire des professionnels.