Elle est fâcheuse pour les intérêts de la France, dont le statut d'allié singulier des États-Unis était un marqueur, jusque-là, de sa politique internationale. Votre ministre de la défense – toujours lui – évoque, pour minimiser le retour de la France dans l'OTAN, une décision de pur symbole, au prétexte que la France est présente – ce qui est vrai – dans l'ensemble des commandements sauf deux, et qu'elle est le troisième contributeur financier.