Je vous remercie, monsieur de Courson, d'avoir souligné les nombreux points de convergence entre les choix du Gouvernement et vos propositions. Vous êtes défavorable à une diminution du taux de prélèvements obligatoires tant que les finances publiques ne seront pas durablement assainies. C'est au niveau de 43,2 % du PIB que nous le stabiliserons entre 2009 et 2012.
L'éloge appuyé que M. Myard a fait de la politique de maîtrise de la dépense adoptée par le Gouvernement nous a confortés dans nos choix.