Je pense que nous devons travailler tous ensemble car je partage en effet le sentiment que nous allons droit dans le mur. J'en veux pour preuve l'exemple de nombreux jeunes originaires des pays du sud de la Méditerranée qui souhaiteraient suivre un enseignement français, mais qui, faute de place dans les établissements du réseau de l'AEFE, se tournent vers l'enseignement anglo-saxon et poursuivent ensuite leurs études aux États-Unis. Nous devons donc réagir, et vite !