Monsieur le rapporteur, j'ai bien compris vos difficultés. En ce qui concerne l'AEFE, le rapport budgétaire pour avis de l'an dernier que je lui avais consacré et la mission d'évaluation et de contrôle sur l'enseignement français à l'étranger sont arrivés aux mêmes conclusions. La prise en charge des frais de scolarité des enfants d'expatriés français est une mauvaise mesure qui génère des inégalités. On va dans le mur ! Je jetais un cri d'alarme l'an passé, vous faites de même. Il y a le feu ! Les établissements se dégradent ; il y a une augmentation des frais d'écolage. L'AEFE puise sur ses réserves en raison de la faiblesse des effectifs étrangers scolarisés. C'est véritablement une catastrophe.