L'objectif que nous nous sommes fixé supposait de bien connaître le profil des fraudeurs et le montant de la fraude potentielle sur l'ensemble du réseau. C'est pourquoi il était si important de mener une étude statistique sur le sujet ; nous la reconduirons cette année. Nous savons aujourd'hui que nous ne parvenons à détecter que 10 % de la fraude, mais nous progresserons grâce aux typologies d'allocataires qui ressortent de l'étude.
Nous ne devons pas être dans l'incantation, mais approcher le sujet de manière rationnelle. Nos plans de lutte sont fondés sur le ciblage de populations et sur l'analyse de nos pratiques – nous nous efforçons de repérer ce qui est susceptible de générer un risque de fraude.