Madame la ministre, nous retrouvons, année après année, de manière récurrente, la même série d'amendements. Ce sont un peu les marronniers du PLFSS. (Sourires.) Ils retracent les difficultés que semble rencontrer l'ensemble des fédérations hospitalières publiques, privées comme les établissements de santé privés d'intérêt collectif. Il est assez déprimant de traiter des mêmes problématiques, qui, à mon sens, avancent peu. Je m'interroge parfois sur la qualité du dialogue entre ces fédérations et les services du ministère. Nous souhaiterions que les choses avancent plus activement.