Je veux revenir sur l'un des objectifs fixés en matière de diplomatie culturelle et d'influence, à savoir développer l'usage du français comme langue européenne et internationale. Sur ce point, je veux vous faire part de l'émotion de la délégation française à l'OSCE – qui a d'ailleurs manifesté sa mauvaise humeur en quittant la salle – d'entendre lors d'une réunion à Palerme des Français s'exprimer en anglais. Nous ne pouvons pas accepter que les fonctionnaires français ne participent pas comme nous le faisons au combat pour la défense de la langue française. L'intéressé, M. de Brichambaut, a avancé comme argument qu'il ne disposait pas de traducteur.