Cet indicateur nous renseigne sur les échéances de paiement ; il permet de savoir quand la tension devient insupportable.
Pour ce qui est des économies résultant d'un désengagement en OPEX, il n'y a pas de réels gains à attendre, le dispositif semblant globalement stabilisé. Je relève par ailleurs que les OPEX sont désormais budgétées en loi de finances initiale à hauteur de 60 % à 70 % des besoins.
Conformément aux conclusions du rapporteur, la commission de la défense donne alors un avis favorable à l'adoption des crédits « Équipement des forces – Dissuasion ».