Je partage votre sentiment sur la question des drones et la nécessité de privilégier des solutions industrielles qui correspondent à nos besoins. Ce serait la pire des solutions que d'importer ce que nous pourrions faire nous-mêmes. L'affaire d'Arlit montre combien nous manquons de moyens de couverture de cette zone, pour laquelle nous disposons de peu d'images satellites.
Vous avez démontré, dans votre exposé, l'ampleur des ruptures capacitaires à venir. À quel montant évaluez-vous, pour 2011, le budget nécessaire à l'armée de l'air pour les combler ?