Depuis maintenant quelques années, ils paient les pots cassés. Les plus défavorisés – ceux dont le revenu imposable s'élève à moins de 1 500 euros, environ 36 %, et les bénéficiaires de la CMU, 38 % – ont renoncé à des soins.
Face à la dérive des comptes sociaux, vous nous proposez, une fois de plus, comme chaque année, un certain nombre de mesurettes. Vous vous opposez, effectivement, à une refonte globale des prélèvements sociaux…