C'est le prolongement de la CADES. Que vous passiez par pertes vos propres engagements, c'est votre conscience que vous devez interroger ; mais que vous chargiez d'ores et déjà et délibérément les jeunes d'un si lourd fardeau, c'est une faute.
Madame la ministre, dans un joli numéro de vérité, vous avez tenté de laisser accroire que vous étiez dans le camp de la vérité. Si tel est le cas, pourquoi n'acceptez-vous pas de reconnaître que vous différez sur les générations futures une large part des problèmes financiers d'aujourd'hui ?