Pour quelle raison celui qui a l'argent ou qui peut l'avoir pour 0 % ou 1 % n'achèterait-il pas des bons du Trésor grec dont le taux institutionnellement garanti par toutes les autorités possibles et imaginables sera de 8 % ou 9 % ?
J'espère, enfin, que nous aurons l'occasion d'entendre M. Andrew Smithers dont les travaux sont particulièrement importants quant au rôle des banques centrales et à l'articulation entre les taux d'intérêt et les asset bubbles.