Sur les 135 000 hectares d'espaces fonciers confiés au Conservatoire, vous avez évoqué la présence d'un important patrimoine bâti (phares, abbayes). Comment le Conservatoire assure-t-il l'entretien et la valorisation de ce patrimoine ?
Vous avez fait état d'une capacité d'acquisition annuelle comprise entre 3 000 et 5 000 hectares, adossée à des moyens relativement stables. Avez-vous des raisons de craindre une contraction des financements complémentaires apportés par l'Union européenne ?
Les élus locaux connaissent bien la pression foncière qui s'exerce sur les bords de mer. Comment le Conservatoire réussit-il à concilier préservation du littoral et prise en compte de cette tendance lourde que représente le peuplement de ce même littoral ?