Ces amendements ont pour objet de doper les investissements dans les PME dans la phase d'amorçage en temps de crise, en doublant le seuil du montant de la réduction de l'ISF par l'imputation d'une partie de l'investissement réalisé à hauteur de 120 000 euros ou, à tout le moins, en autorisant le report des excédents sur les quatre années suivantes dans la limite annuelle de 50 000 euros.