Vous avez récemment prononcé un avis défavorable sur le projet de décret concernant les services de médias audiovisuels à la demande (SMAD). Une telle décision a peu de précédents. Était-elle vraiment justifiée ? Quelles en sont les raisons ?
Vous êtes garants de la diversité dans le paysage audiovisuel français. Quel bilan tirez-vous des lois votées en ce domaine et de leur application ?
Jusqu'où peut-on aller dans le parrainage sur les chaînes de télévision publique ?
Quatre chaînes sont plus particulièrement destinées aux femmes, et d'autres sont en projet. Est-ce que cela préfigure l'état futur de l'audiovisuel français, dans lequel les chaînes généralistes céderont le pas à une multitude de chaînes thématiques ?
Enfin, de grands efforts ont été consentis pour veiller aux publicités liées à la consommation. Pensez-vous que tout a été fait, ou bien reste-t-il fort à faire ?