Je dois vous faire part de mon inquiétude à l'idée que le président de l'AFP puisse démissionner. Vous avez parlé avec franchise, et peut-être un peu d'amertume. L'avènement d'internet a mis l'AFP dans une situation difficile, et ses abonnements publics représentent 40 % de son chiffre d'affaires, contre 60 % précédemment. La moitié des commandes de l'agence viennent de l'étranger. Dans un contexte de vive concurrence internationale, n'est-ce pas un risque important que vous courez ?
Après la fin du crédit-bail et le plan de départ volontaires, l'Agence devrait pouvoir bénéficier en 2012 de 10 à 15 millions d'euros. Comment comptez-vous utiliser cette somme ?