Vous avez déclaré vouloir renoncer à la réforme engagée par votre prédécesseur concernant le changement de statut de l'AFP. Néanmoins la concurrence internationale demeure, Les défis que l'Agence doit relever persistent. Dans une interview au journal Le Monde vous avez affirmé vouloir faire de l'AFP un vendeur de contenu directement au lecteur sans passer par les journaux : il s'agit là d'un moyen peut-être efficace pour trouver une partie même infime des 100 à 120 millions d'euros jugés nécessaires à la mutation de l'agence et à sa modernisation.
Quelles autres modalités de réforme proposez-vous ? Quel regard portez-vous sur le rapport Pigeat qui a été présenté comme votre feuille de route ?