Notre proposition devrait satisfaire non seulement l'ensemble des membres de notre Commission mais aussi le Président de la République, qui plaide à juste titre sur la scène internationale en faveur d'une taxe sur les transactions financières. La prochaine présidence du G20 par la France lui offre une occasion inespérée d'effectuer le premier pas, et d'entraîner ainsi l'ensemble de la communauté internationale. Nous avons retenu le taux de 0,05 %, que le ministre des affaires étrangères appelle sans cesse de ses voeux.