Je tiens à le dire avec la même solennité que M. Ayrault. Il n'y a pas, d'un côté, l'opposition, qui se draperait dans sa dignité et, de l'autre, la majorité, qui ne chercherait qu'à accélérer les débats. Je ne peux accepter un tel procès d'intention. La réalité est tout autre. Celles et ceux qui ont assisté au spectacle lamentable auquel a donné lieu l'examen récent du texte sur l'audiovisuel public savent ce dont je parle. (Protestations sur les bancs du groupe SRC.)