Je comprends qu'on s'inquiète des moins-values potentielles, mais elles sont souvent défiscalisées. S'agissant des obligations, les assureurs peuvent toujours attendre l'échéance de leurs créances, ce qui leur permet de ne pas provisionner leurs titres. Ils ont donc toute latitude pour s'adapter au contexte économique. Il est d'autant plus dommage de se priver d'une recette disponible que la diversité de leurs portefeuilles leur permet largement de compenser l'effet d'une remontée des taux obligataires. En tout état de cause, je me fie à la sagesse du rapporteur général.