Monsieur Eckert, permettez-moi de plaider ma parfaite bonne foi. L'an dernier, j'ai porté quasiment seul, contre l'avis de beaucoup, la révision de traitement des dividendes dans le cadre du bouclier fiscal. Je suis donc parfaitement conscient de ce problème. Mais vous proposez une mesure générale qui n'est juste que dans quatre cas sur cinq, et que nous devons donc étudier avec plus d'attention.