La disposition proposée nous paraît assez inefficace : cette évolution du plafonnement n'empêcherait aucunement un donateur d'apporter son soutien financier à de simples associations à but politique. Tout à l'heure, j'ai entendu évoquer, dans cet hémicycle, l'exemple d'une association politique largement financée, nous dit-on, par un homme d'affaires relativement aisé au bénéfice d'une ancienne et peut-être future candidate à l'élection présidentielle.
Si j'en crois la proposition étudiée ce jour, un tel cas de figure devrait être exempt de tout contrôle.