Cela a même souvent pointé du doigt par certains commentateurs – y compris dans des journaux qui ne soutenaient pas a priori Éric Woerth – comme la marque d'un certain manque de courage de notre part, voire d'une certaine complicité.
Deuxièmement, mes chers collègues de la majorité, je vous rappelle que la première question d'actualité sur le conflit d'intérêts de M. Woerth remonte au 9 décembre 2009.