, a félicité Mme Prada-Bordenave pour la clarté de son exposé et la manière dont elle dirige l'Agence de la biomédecine. Il a remarqué que grâce aux travaux menés par l'ABM, on s'est aperçu que le manque de greffon n'est pas un problème culturel ; il ne s'agit pas de changer les mentalités mais bien d'améliorer l'organisation du prélèvement d'organes.
Il a rendu hommage aux membres du Conseil d'orientation de l'Agence de la biomédecine, véritable vivier de connaissances, et fait observer que l'avis du Conseil d'orientation sur la gestation pour autrui présentait un point de vue différent de celui figurant dans un rapport d'information du Sénat. Il a conseillé à chacun de se reporter aux travaux du Conseil d'orientation de l'ABM, notamment aux auditions d'experts français et étrangers, à l'heure où ce sujet viendra très probablement en débat lors de la révision prochaine de la loi relative à la bioéthique.