Monsieur le président Copé, le Président de la République et moi n'avons jamais pensé que cette réforme serait facile, pas plus que ne l'ont été celles de 1993, de 2003 ou de 2007, qui pourtant, aujourd'hui, sont acceptées par la plus grande partie de nos concitoyens (Exclamations sur les bancs des groupes SRC et GDR) et par une grande partie de ceux qui siègent sur les bancs de l'opposition.