Oui, absolument.
Quant au traitement fiscal de la Société générale, qui a également été évoqué par M. Perruchot, il s'agit ni plus ni moins de l'application des règles fiscales, en particulier du principe du report en arrière des déficits, qui permet, dans des conditions qui n'ont rien d'une faveur et qui ne sont en rien exceptionnelles, d'imputer une partie de la perte sur les bénéfices des années antérieures. Si d'aventure, l'établissement en question bénéficiait d'une indemnisation, celle-ci constituerait un élément taxable et il devrait régler une imposition.