Je vous donne acte qu'il s'agissait effectivement d'un rappel au règlement.
Il appartient à chaque groupe, je vous le répète, de s'organiser en fonction des temps de parole qui ont été définis par la conférence des présidents. C'est la démocratie.
Cela dit, j'ai omis de vous préciser tout à l'heure que le président de l'Assemblée nationale, Bernard Accoyer, était intervenu auprès du Gouvernement pour nous permettre d'avoir davantage de temps pour débattre. Nous aurions dû commencer mardi la discussion de la loi sur la sécurité intérieure. Si nous sommes toujours en train de discuter du présent texte, c'est parce que le président de l'Assemblée nationale a demandé du temps supplémentaire au Gouvernement.