Comme vous le savez, lorsque je préside, je respecte le pluralisme de notre assemblée, et personne ne peut me prendre en défaut sur ce point. Je vous remercie de bien vouloir m'en donner acte. (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.)
Le pluralisme vaut pour tous. Que les choses soient claires : il n'y a pas de gens qui seraient plus « pluriels » que d'autres.
Il est dommage, monsieur Ayrault, que vous ayez décidé de ne siéger ni à la conférence des présidents ni au Bureau.