Il faut donc veiller à ce que l'identité de ces enfants soit recherchée. C'est ce que nous prévoyons. Nous sommes bien là dans le cadre de la Convention internationale des droits de l'enfant. Y contrevenir équivaudrait pour la France à cautionner leur enlèvement et le trafic dont ils sont victimes, comme furent victimes, dans d'autres circonstances et à d'autres fins, les malheureux enfants de l'Arche de Zoé, que l'on a tenté d'exfiltrer de leur pays.
Je voudrais enfin, si vous me le permettez, monsieur le président, citer l'article 35.