Alors que nous disposons d'un potentiel important en matière de recherche en sciences « dures », vous comptez installer plutôt des entreprises « high-tech ». Vous vous êtes inspiré, par ailleurs, du modèle chinois : ne risque-t-on pas de tomber dans le travers d'une recherche directement exploitable économiquement, au détriment de la recherche en sciences exactes ?