Bel objet que l'INA et en plus de cela, en bonne santé financière, semble-t-il, et donc c'est un bel héritage pour vous d'avoir cette responsabilité.
Ma première question concerne la formation ; nous avons vu notamment la question de l'investissement immobilier avec l'engagement de l'État pour 55 millions d'euros, qui demandera à être réalisé. Pour sa part, l'INA doit contribuer à hauteur de 20 millions peut-être davantage : avez-vous réellement la capacité d'assumer cet investissement ?
La deuxième question porte sur ces formations et leur coût pour les personnes qui se forment : pouvez-vous nous en dire quelques mots – car j'ai souvenance de coûts élevés – pour préciser comment cette formation est financée ?
La troisième question est en rapport avec une observation du CSA selon laquelle le volume de programmes mis à disposition du grand public serait moins ambitieux que celui proposé aux professionnels. Pouvez-vous nous confirmer cela ? De façon complémentaire à ce constat, en tant qu'éditeur, quelles sont vos priorités ?
S'agissant du dépôt légal, vous avez indiqué qu'une centaine de chaînes de télévision et une vingtaine de radios sont actuellement couvertes et quand le web va arriver, ce sera beaucoup plus. Alors comment physiquement, concrètement, allez vous aborder cette question du web ?