Monsieur Urvoas, vous souhaitez que nous travaillions dans la sérénité : je vous en remercie, car c'est précisément l'intention qui m'anime ce matin. Je n'étais pas là hier soir, mais je ne permettrai pas qu'on mette en cause la présidence.
Pour ce qui est des suspensions de séance, je vous rappelle que nous en sommes à trente-deux depuis le début de l'examen de ce texte. C'est une information qui a son intérêt.
Vous nous expliquez que vous ne voulez rien lâcher. C'est votre droit. Chacun doit pouvoir s'exprimer dans le respect des orateurs, quels qu'ils soient, afin que nous puissions examiner ce texte dans la plus grande sérénité.