Vous savez très bien que la loi nous autorise à le faire.
Vous dites que ce sont des chantiers, mais nous nous sommes rendus devant ces bâtiments. Il nous a paru que le chantier était complètement terminé. Il nous a d'ailleurs été dit qu'il y avait un petit problème, que l'on avait posé des portes blindées devant les douches, que cela ressemblait trop à une prison et qu'il fallait les changer.
Je vois derrière vous, monsieur le ministre, un membre de votre cabinet qui rigole. Tout fonctionnaire que vous êtes au côté du ministre, monsieur, je ne vous autorise pas à hocher la tête lorsque je dis des vérités. (Protestations sur les bancs du groupe UMP. – Applaudissements sur les bancs du groupe SRC.)