Monsieur le président, monsieur le ministre, mes chers collègues, vous ne serez pas étonnés d'apprendre que je me retrouve pleinement dans les propos qui viennent d'être tenus par Jean-Marc Ayrault, comme dans ceux de mes collègues de gauche ainsi que ceux d'Étienne Pinte et de Daniel Garrigue.
Avec cet article 3 bis, nous atteignons les sommets de l'obscénité politique tirée de la tyrannie de l'émotion.