Si tel était le cas, cela signifierait que l'on supprime par voie d'amendement l'accès de 20 000 jeunes à la nationalité française. Si tel n'est pas le cas, la voie de contournement est tout indiquée. En effet, ce que vous voulez, c'est que le jeune indique expressément, à sa majorité, sa volonté de devenir français.