Chacun s'accorde à reconnaître l'utilité du dispositif, comme je l'ai entendu de façon explicite, particulièrement dans les propos de Jean-François Lamour, Muriel Marland-Militello et Claude Leteurtre. J'ai cru comprendre également que, sur certains bancs, on ne voulait pas aller jusqu'au bout de la logique et reconnaître que cette mesure méritait d'être votée. À chacun ses tourments !
Je crois que sur des sujets comme celui-ci, il est tout à fait possible de démontrer que le secteur associatif peut échapper aux clivages. Que faudrait-il pour cela ? Se sentir débarrassé des contingences ?