Je voudrais y répondre très clairement pour qu'il n'y ait pas d'ambiguïté.
Lundi matin, j'étais invité par le journal Le Parisien à rencontrer ses lecteurs. « Si je vous écoute bien, m'a dit l'un d'entre eux, ce que vous demandez à des migrants qui accèdent à la nationalité française, c'est de devenir de bons petits Français ». « Qu'est-ce qui vous choque, lui ai-je demandé, dans le fait que quelqu'un qui est bien intégré et accède à la nationalité française devienne un bon Français ? »