On peut en effet s'interroger sur l'opportunité de compléter ainsi notre dispositif de référence en la matière à moins de cinq semaines des élections cantonales ! C'est pourquoi, d'ailleurs, nous avons déposé un amendement dont le but est de s'assurer qu'il n'y a pas, derrière cette proposition du président de la commission des lois, une intention malsaine visant à permettre à certains de ses amis, aujourd'hui députés ou sénateurs, d'être candidats au conseil général pour laisser leur place à leur remplaçant ou remplaçante.