Il convient de trouver un équilibre entre notre tradition d'accueil et une ouverture des vannes sans contrôle. Les services de l'État devraient analyser les dossiers de manière plus précise, en fonction de la personnalité de chaque étranger et de sa capacité d'intégration. À partir du moment où un étranger est en mesure de nous faire bénéficier de son travail et de payer ses cotisations, il y a tout lieu d'envisager sa régularisation, ce qui éviterait des dérives humaines, juridiques et financières.