Ceci, ce sont des réalités, je vous l'ai dit. Mais j'entends aussi un certain nombre d'arguments de fond, solides, qui nous invitent au changement.
Comme vous tous, je considère que les élections cantonales partielles sont trop nombreuses. Nous en avons en permanence. Elles sont lourdes à organiser et sont très souvent boudées par les électeurs – nous constatons des taux d'abstention considérables.
Comme vous, je déplore aussi la trop faible féminisation de nos assemblées départementales.