Même si la durée exceptionnellement longue de la séance d'hier soir ne peut être imputée à la majorité, elle était en effet imprévisible.
Il est vrai que tous nos rapporteurs ne sont pas encore présents, mais ils ont confirmé leur venue.
Surtout, deux des projets de loi que nous avons à examiner ce matin figurent à l'ordre du jour de la séance publique de demain ; il n'est donc pas possible de remettre leur examen à plus tard. Il aurait été intéressant d'entendre dès aujourd'hui en commission les arguments du groupe GDR sur le projet de loi relatif à l'accord fiscal avec la Suisse, mais le groupe est naturellement libre de ne pas participer à notre réunion.