Monsieur Gorce, j'apprécie les reproches que vous adressez à la présidence. Il me semble que le ministre est assez grand pour demander la parole quand il le souhaite, d'autant que le Gouvernement peut s'exprimer quand il le veut.
La parole est à M. le ministre. (« Ah ! » sur les bancs du groupe UMP.)