Il paye à peu près les mêmes cotisations sociales que les salariés (Exclamations sur les bancs des groupes SRC et GDR), alors que ce n'est pas contributif, que cela n'ouvre aucun droit. (Mêmes mouvements.) Écoutez, quand les stock-options ont été créés, le bénéficiaire ne payait quasiment rien ; aujourd'hui, il paye à peu près comme pour un salaire !
Vous proposez, par cette fiscalisation supplémentaire sur les stock-options, de recueillir 2,5 milliards d'euros.